Un adage bien ancré de chez nous dit : « Il y a des touches du xylophone qu’il ne faut pas jouer ». Le Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l’Etat (CNRDRE) ne devait pas tomber dans ce piège des politiciens. Est-ce à croire que tous ceux qui ont soutenu la junte bénéficieront d’une promotion dans leur corps, dans les services publics ?
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