Les réfugiés ne perdent jamais tout. Ils gardent « leur savoir, leurs compétences et leurs expériences », souligne sur son site Internet le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations Unies (UNHCR). Au sud du Sahara – où l’on recense quelque deux millions d’exilés forcés, dont une grande partie de femmes chefs de famille – beaucoup investissent leur potentiel dans des activités génératrices de revenus.
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