L’intervention armée de la CEDEAO pour libérer le nord du Mali pose problème dans l’armée malienne. Après le coup de sang de son porte-parole Bakary Mariko, qui s’opposait à toute venue des troupes de la CEDEAO, le capitaine Sanogo lui-même s’est voulu assez rassurant: sans rejeter le principe de l’intervention de la CEDEAO, il l’a cantonnée aux seuls cas où l’armée aurait besoin d’aide. Depuis lundi dernier, il semble que l’armée ait finalement mis de l’eau dans son vin et admis que les troupes de la CEDEAO utilisent Bamako comme base stratégique. On aura compris toutefois que cette concession de l’armée n’a été faite que du bout des lèvres…
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