jcomments on 2009 - La société civile burundaise est le troisième acteur de la société burundaise après les partis politiques et l’Etat. A un an des élections de 2010, voici ce qu’était l’image de la société civile burundaise Elle permet de comprendre et connaître ceux qui la mènent. C’est à dire la société civile internationale et la société civile politique (UPRONA). Fin d’année 2009, ces deux entités ont mis en place une alliance qui a mis à mal -la confiance – des autorités burundaises vis-à-vis de la Communauté Internationale. Le gouvernement du Burundi (majoritairement CNDD/FDD) a eu du mal face à la coalition entre ces deux sociétés civiles. On l’a vu que ce soit :- au travers de projet de monitoring des élections en 2010, avec l’affaire FORSC (Cosome) notamment ou encore avec la demande du remplacement du représentant de l’Onu au Burundi, Youssef Mahmoud ... Actuellement encore, près de 100% des aides destinées à la société civile burundaise renforcent ces 2 sociétés civiles - société civile internationale et la société civile politique (UPRONA – celle des fils et fils de la Dictature burundaise -) délaissant les autres. On parle de 40% du budget burundais (de façon multilatérale) qui leur est destinée. C’est totalement disproportionnée ! Cette situation met au silence toutes les autres sensibilités, et surtout la société civile sociale qui est quasi inexistante ou vouée à elle-même.
Cet article est repris du site https://www.burundi-agnews.org/index...