Deux semaines après la tenue du second tour de la présidentielle, la Côte d’Ivoire a toujours deux présidents, deux premiers ministres et deux gouvernements. Et la quasi-totalité des commentateurs, observateurs et analystes crient haro sur l’usurpateur Laurent Gbagbo, qui a arraché par des contorsions légales un pouvoir légitimement dû à Alassane Dramane Ouattara. Tel ne semble pas être le sentiment à l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD) de Me Hermann Yaméogo, qui (...)
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