La question de la vieillesse et du vieillissement reste enfermée, en France particulièrement, dans une approche exogène (c’est-à-dire institutionnelle ou représentative plus qu’en prise directe sur les intéressé-e-s eux mêmes) et palliative (en termes d’adaptation à une situation définie d’abord comme problématique : la vieillesse comme problème social). Le dialogue entre des interlocuteurs (chercheurs, experts et professionnels) appartenant à des institutions et à des secteurs différents (santé, action sociale, urbanisme, culture…) a du mal à s’instaurer. Les projets et tentatives d’échanges existent cependant et sont de plus en plus reconnus comme nécessaires de part et d’autre, dans un contexte sociétal où le vieillissement est devenu une question publique.

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